La sécurité du cloud computing a toujours été son talon d'Achille, notamment en termes de confidentialité et de piratage.
Cloud computing : ses limites
Le Cloud Computing n'est ni plus ni moins qu'un serveur distant, qui stocke une multitude d'applications et de logiciels. Parfois, sans le savoir, vous êtes utilisateurs du Cloud via des services en ligne tels que Gmail, Outlook ou Yahoo! Bien que les avantages du Cloud Computing soient alléchants, il faut tout de même s'interroger sur la sécurité de ce type de produit, surtout si on l'utilise professionnellement. Tout d'abord, l'un des premiers risques du Cloud Computing est la perte ou la fuite de données.
À des fins publicitaires
Par exemple, si vous perdez vos mots de passe, vous ne pourrez plus accéder à vos documents personnels s'ils sont stockés sur ces serveurs externalisés. La confidentialité est donc parfois sujette à caution : lorsque vous utilisez des services de cloud computing (SAAS, DAAS ou BAAS), vos entrées informatiques sont stockées dans ce qu'on appelle un cloud. Et un cloud informatique, c'est un peu comme une grande salle où survivent des milliers d'informations à la portée des spécialistes! Les conditions d'utilisation de chaque service sont à consulter pour plus d'informations.
Quand la justice intervient
Il peut alors arriver que vos données soient utilisées, par exemple, pour des actions marketing, si vous autorisez leur utilisation commerciale. En matière de piratage et de vol d'informations, le Cloud Computing s'avère être du fromage informatique. Enfin, vos données peuvent également être utilisées par les tribunaux, du moins en ce qui concerne les États-Unis, qui les utilisent dans le cadre des lois antiterroristes. Mais n'obscurcissons pas l'image du Cloud! De véritables transformations technologiques s'opèrent pour améliorer leurs failles de sécurité.